2902 - CORNOUAILLE



QUIMPERLÉ
Centré sur Quimperlé le contour de notre Comité correspond à celui de « Quimperlé Communauté » qui compte environ 60000 habitants.
Il comprend 16 communes dont trois en front de mer limitées par la Laïta et l'Aven.
Les atouts touristiques y sont nombreux grâce à ses plages, ses ports, ses forêts, ses rivières et ses monuments historiques ; on peut citer l'abbaye de Saint-Maurice sur les bords de la Laïta et celle de Sainte-Croix à Quimperlé.
Ce territoire est également très prisé grâce à ses nombreuses infrastructures sportives, piscines, club de voile, de surf, etc...
Le président du Comité est Serge Levrel, habitant Clohars-Carnoët,
Le Vice-Président est Didier Perrot habitant le Trévoux.
Nous avons 27 adhérents.
Serge LEVREL
9 novembre
DÉCÈS DU GÉNÉRAL JACQUES TROHEL
Ancien président du comité SMLH de Quimperlé
Jacques Trohel est né à Mamers en 1939. Il est le deuxième d'une fratrie de cinq enfants. Saint-Cyrien de la promotion « Vercors », il choisit l'arme du Génie. Marié à Bernadette en 1962, ils ont quatre enfants, dix petits-enfants et une arrière-petite-fille. Comme capitaine, il commande une Compagnie du 2éme Régiment du Génie à Metz. Breveté de l'Ecole de Guerre, il commande en second le 6 ème Régiment de Génie d'Angers puis il est affecté à la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris où il fera une brillante carrière et terminera comme général en 1996. Son expérience lui permettra d'être recruté comme expert incendie auprès du Ministère de la Justice.
Il a présidé le Comité de la SMLH de Quimperlé jusqu'à ce que la maladie l'en empêche.
Ceux qui l’ont côtoyé témoignent de ses qualités de droiture, de rigueur, de générosité et de chef direct et humain. Un grand ami nous quitte; son souvenir restera gravé dans nos mémoires.
19 juin
Nouvel arrivant à Clohars Carnoët
Louis LUCAS, chevalier
Monsieur LUCAS et Madame à leur arrivée au déjeuner mensuel du 2 juin |
Vous venez de rejoindre la section de Cornouaille. D’où venez-vous et pourquoi vous être installé en Cornouaille ? C’est un « retour aux sources », progressif : du fait des bombardements de Lorient, ma famille s’installe à Paris en 1942 ; après plusieurs années de location d’été elle a fait construire à Clohars Carnoët (entre Lorient et Concarneau où était né mon père). Nous y achetons une ancienne ferme il y a près de 30 ans et, depuis la retraite, y résidons de plus en plus longtemps tout en gardant un pied à Paris pour accueillir des petits-enfants étudiants et poursuivre certaines activités. C’est maintenant notre résidence principale, ce qui explique ma demande de transfert vers la « section de Cornouaille », à laquelle je sais gré de m’avoir déjà accueilli pour quelques manifestations. Pouvez-vous nous décrire succinctement votre parcours ? Au cours de mes études d’ingénieur, interpellé par le développement du tiers-monde, j’ai choisi de m’orienter vers le génie rural (depuis : génie rural, eaux et forêts), ce qui me permit de travailler pendant quatre ans à l’aménagement de rizières dans les zones submersibles du Niger et du Bani (au Mali ; elles existent toujours, mais, hélas, je ne pourrais plus les visiter !) puis, après notre mariage, au Cameroun. Éviter de devenir un vieux colonial ? En France, le ministère de l’agriculture recherchait du monde pour créer une industrie agroalimentaire nationale performante : ce furent 15 ans passionnants essentiellement consacrés aux liens entre la recherche, l’enseignement et l’industrie en relation avec l’étranger ; cela me conduisit à poser une candidature française pour la direction d’un organisme international assurant les relations recherche-industrie dans les divers domaines du froid artificiel (alimentaire, conditionnement d’air, gaz liquéfiés, santé,…). Ce furent également 10 années fort intéressantes et, je l’espère, utiles. Qu’êtes-vous prêt à faire au profit de notre section ? Dans la section Necker du comité de Paris XV, j’avais programmé d’organiser une visite des réseaux de froid qui assurent le conditionnement d’air des immeubles de la Défense ou des bureaux de deux quartiers de Paris ; c’est un peu loin de Quimper, mais je fais confiance à Serge Levrel, président de la section de Quimperlé, pour détecter ce que je pourrais éventuellement faire pour la section. |